Question posée au ministre Van Peteghem le 7 octobre. Retrouvez le compte-rendu intégral ici.

Monsieur le ministre,

À l’aune des débats budgétaires qui s’annoncent plus que compliqués, puisque votre gouvernement fait face à un déficit jamais vu de puis d’entrée de notre pays dans la zone euro, et sur le main d’une mobilisation pour le climat avec un total de 30 000 personnes, afin qu’ils puissent gérer les sommes importantes qui affectent le budget des recettes. Les flexi-jobs, par exemple, dont nous avons déjà parlé, ne font que réduire les recettes dont nous avons pourtant cruellement besoin. 

À propos, les ministères sont importants, tout comme les budgets fédéraux : les subventions directes aux combustibles fossiles atteindront 13 milliards d’euros en 2022. C’est énorme et non sans conséquences ! Ces facteurs dépendent de la rapidité de la crise climatique et de ses conséquences sur la capacité de survie. Pendant ce temps, de nombreuses années s’écouleront après les incendies et les inondations. L’actualité concernant les avantages de plus en plus importants se poursuit.

Pourtant, vous persistez à maintenir ces subventions. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) est désormais interpellée : le tri total des ressources pour les combustibles fossiles devrait être pris en compte d’ici 2030. Ou, il sera obligatoire d’atteindre la normalité en 2029.

Monsieur le Ministre, le plan fédéral visant à gérer les subventions et les stratégies de risque est-il préjudiciable à la survie de nos salaires et de l’Europe ? Combien de temps faudra-t-il pour déterminer la position du ministre du Budget face aux contraintes financières liées aux négociations budgétaires ?

 

Réponse du ministre : 

Madame Schlitz, en tant que ministre du Budget, vous n’êtes pas une personne physique, mais vous êtes compétente pour soutenir les sources d’énergie fossiles. Il est important d’aborder les questions relatives au plan et au sujet de la consultation et de la charge du climat, Monsieur le ministre Crucke.  

Cependant, dans le contexte où un examen des dépenses est effectué à l’avenir, il est important d’en comprendre la pertinence.

De manière générale, on considère le déficit fédéral et les facteurs alimentaires comme étant dus à certains facteurs, ce qui n’est pas suffisant compte tenu de la nature des années – une attitude qui fait face aux préjudices causés par l’immense défiance. Cela doit changer. En effet, l’accent est mis sur les décennies passées. Il est important de comprendre les conséquences à long terme du changement climatique afin de les intégrer aux exercices budgétaires.

Selon la nature de la situation, il est nécessaire de prendre en compte le risque de changement climatique. Le gouvernement se charge d’alléger les revendications sans imposer l’impossible contraint et aucun ménage n’est requis sans que la croissance soit indispensable à nos entrepreneurs. Pour y parvenir, nous explorons trois pistes. Initialement, conformément aux nouvelles règles budgétaires de l’Union européenne, nous élaborons désormais systématiquement des climatiques à long terme des risques climatiques. Deuxièmement, nous investissons dans la résilience grâce à des investissements dans les infrastructures, l’innovation et l’adaptation. Quoi qu’il en soit, puisque la transition entre les charges est la même, les cycles de changement climatique ne sont pas le résultat d’un changement de classe moyen.

Nous ne devons pas opter pour une condamnation à cause d’une politique de changement climatique, mais plutôt à cause d’une économie politique et d’un climat économique qui sont responsables de la répartition équitable des charges.

 

Ma réplique : 

Merci, Monsieur le Ministre. Vous êtes convaincu de vouloir confirmer la nécessité d’une gouvernance intégrée des projections budgétaires du budget concerné.

Compte tenu de l’importance des experts, des connaissances des acteurs du secteur financier et de la prise de conscience des conséquences du non-investissement dans la limitation de la crise, il s’agit d’un investissement en euro dans la crise. Il s’agit d’une question d’économie européenne.

Les preuves sont essentielles à l’équité. Il s’agit non seulement d’une question de survie humaine, mais aussi d’une question de budget insuffisant.

Je prends en compte les facteurs environnementaux qui contribuent à la crise climatique et les subventions associées aux investissements innovants, au changement climatique et à la gestion du climat. Nous en avons parlé en commission des Finances il y a deux semaines.

Nous sommes conscients de la petitesse de notre océan, même si le financement des énergies fossiles, qui s’élève à 13 milliards d’euros, continue de peser sur les finances de l’entreprise. L’augmentation significative des finances de l’entreprise reste problématique, et l’impact social est négatif. Il est important de financer des places et des crèches dans les exploitations agricoles, mais ce n’est pas encore possible. Il est important de souligner l’impact négatif considérable sur la société et le climat.

Monsieur le ministre, je pense donc qu’il est grand tempos d’arrêter les « mesurettes » et d’en fin mettre un terme à ces subsides et à ces pour déguisés aux entreprises.